Catégorie : D’ici et d’ailleurs

About a century or two ago, the Pope decided that all the Chinese had to leave Italy. Naturally, there was a big uproar from the Chinese community.

So the Pope made a deal. He would have a religious debate with a member of the Chinese community. If the Chinese win, they could stay.

If the Pope wins, the Chinese would leave. The Chinese realized they had no other choice. So they picked a middle-aged man named Ah Pek to represent them.

Ah Pek asked for one condition to be added to the debate. “To make it more interesting” he said, “neither side would be allowed to talk”.

The Pope agreed. The day of the great debate came.

Ah Pek and the Pope sat opposite each other for a full minute.

Then the Pope raised his hand and showed three fingers. Ah Pek looked back at him and raised one finger.

The Pope waved his fingers in a circle around his head. Ah Pek pointed to the ground at where he sat.

The Pope pulled out a loaf and a glass of wine. Ah Pek pulls out an apple.

The Pope stood up and said “I give up. This man is too good. The Chinese can stay.”

An hour later, the cardinals were all around the Pope asking him what happened ?

The Pope said “First I held up three fingers to represent the holy trinity. He responded by holding up one finger to remind me that there was still one God common to both our religions.” “Then I waved my finger around me to show him that God was all around us.” He responded by pointing to the ground and showing that God was also right here with us.”

“I pulled out the wine and loaf to show that God absolves all sin. He showed me an apple to remind us of the original sin. He had an answer for everything. What could I do ?”

Meanwhile, the Chinese community had crowded around Ah Pek. “What happened ?” they asked. “Well” said Ah Pek “first he indicated to me that all Chinese had 3 days to get out of here. I waved my finger that not one of us was leaving. Then he pointed that this whole city would be cleared of Chinese. I showed him that we are staying right here.”

“Yes, and then ???” asked the crowd.

“I don’t know” said Ah Pek “he took out his lunch and I took out mine !!!”

The Australian Poetry Competition had come down to two finalists, an university graduate and an old aboriginal.

They were given a word, then allowed two minutes to study the word and come up with a poem that contined the word.
The word they were given was ” TIMBUKTU “

First to recite his poem was the university graduate. He stepped up to the microphone and said :

Slowly across the desert sand
Trekked a lonely caravan
Men on camels two by two
Destination – Timbuktu

The crowd went crazy ! No way could the old aboriginal top that, they thought.
The old aboriginal calmly made his way to the microphone and recited :

Me and Tim a-huntin’ went
Met three whores in a pop-up tent
They were three, and we were two
So I bucked one, and Timbuktu

The aboriginal won.

– Bonjour ! Je suis bien chez Gordon Pizza ?

– Non, Monsieur, c’est Google Pizza.

– Ah, pardon, j’ai composé un mauvais numéro ?

– Non, monsieur, Google l’a racheté.

– Ok, pouvez-vous prendre ma commande s’il vous plaît ?

– Eh bien, Monsieur, vous prendrez comme d’habitude ?

– Comme d’habitude ? Mais vous me connaissez ?

– D’après notre système d’identification des numéros d’appel, lors des 12 dernières commandes, vous avez pris une pizza avec du fromage, des saucisses, et une croûte épaisse.

– Oui, c’est bien cela !

– Puis-je vous suggérer comme garniture cette fois-ci de la ricotta, de la roquette et de la tomate séchée ?

– Non, merci, je déteste les légumes.

– Mais votre taux de cholestérol n’est pas très bon.

– Comment le savez-vous ?

– Par le biais du guide des abonnés, nous disposons de résultat de vos analyses de sang au cours des sept dernières années.

– D’accord, mais je ne veux pas cette pizza, d’ailleurs, je prends déjà des médicaments.

– Vous n’avez pas pris votre médicament régulièrement : il y a quatre mois, vous n’avez acheté qu’une seule boîte avec 30 comprimés dans une boutique du réseau Drugsale.

– J’en ai acheté plus, mais dans une autre pharmacie !

– Cela n’apparaît pas sur votre relevé de carte de crédit.

– J’ai payé en espèces !

– Mais vous n’avez pas retiré cette somme d’après votre relevé bancaire.

– J’ai d’autres sources de revenus en espèce.

– Cela n’apparaît pas non plus sur votre dernier formulaire d’impôts, sauf si vous avez obtenu ces espèces à partir d’une source de revenus non déclarée.

– Que se passe-t-il ? J’en ai assez ! Je suis fatigué de Google, Facebook, Twitter, WhatsApp et tous les autres. Je vais aller sur une île où il n’y a pas d’Internet, pas de téléphone portable et personne pour m’espionner.

– Je comprends, Monsieur, mais vous devez d’abord renouveler votre passeport puisqu’il est expiré depuis 5 semaines…

Dans une école du Médoc, l’institutrice apprend aux élèves les mesures de capacité.
Elle arrive aux mesures des liquides et dit : “ La plus petite, c’est… le millilitre “
Puis viennent le centilitre, le décilitre et la mesure de base qui est …. ? “
“ Le litre ! ” crient les enfants.
“ Très bien. Et qu’y a-t-il au-dessus du litre demande l’institutrice ? “
Et toute la classe en chœur répond : « Le bouchon » !

***

La suite très logique et pédagogique de cette petite blague : pourquoi les bouteilles de vin font-elles 75 cl ?

Tout le monde sait qu’une bouteille de vin contient 75 cl mais d’où vient cette contenance d’exception ?

La contenance de la bouteille de vin a été standardisée au 19e siècle et depuis les théories les plus folles sont nées de cette mesure singulière. Cela correspondrait à :

· la capacité pulmonaire d’un souffleur de verre

· la consommation moyenne lors d’un repas

· une meilleure façon de conserver le vin

· une facilité de transport.

La réponse n’est dans aucune de ces théories et encore moins dans la législation française ou européenne.

Il s’agit tout simplement d’une organisation pratique et historique.

À cette époque les principaux clients des viticoles français étaient les Anglais.

Mais nos voisins britanniques (parfois assez spéciaux) n’ont jamais eu le même système de mesure que nous.

Leur unité appelé “gallon impérial” valait précisément 4,54609 litres.

Pour éviter un casse-tête dans la conversion ils transportaient le Bordeaux en barriques de 225 litres, soit l’équivalant de 50 gallons (en arrondissant).

Et 225 litres correspondent à 300 bouteilles de 75 centilitres.

Car 300 est un chiffre plus aisé pour faire des calculs que 225.

On avait donc : 1 barrique = 50 gallons = 300 bouteilles.

Ainsi un gallon valait 6 bouteilles.

C’est d’ailleurs pourquoi aujourd’hui encore les caisses de vin sont la plupart du temps vendues par 6 (ou 12) bouteilles.

.

Vous voyez que je n’envoie pas que des bêtises ! 🙂